Performance | Quanta https://www.quanta.io/fr/ Web Performance Management for Business, Uninterrupted. Mon, 14 Jun 2021 15:20:14 +0000 fr-FR hourly 1 Les Quanta Connect sont lancés ! https://www.quanta.io/fr/blog-fr/evenement/les-quanta-connect-sont-lances/ Fri, 03 May 2019 13:53:56 +0000 https://quanta.io/?p=15946 Jeudi 18 avril avait lieu le premier opus des évènements “Quanta Connect”. Accompagnés de nos partenaires Smile (expert du digital et de l’open source – conseil, intégration et infogérance) et Amazon Web Services (leader mondial du Cloud computing), nous avons partagé un after work convivial avec nos invités, laissant place aux rencontres et échanges professionnels […]

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Jeudi 18 avril avait lieu le premier opus des évènements “Quanta Connect”. Accompagnés de nos partenaires Smile (expert du digital et de l’open source – conseil, intégration et infogérance) et Amazon Web Services (leader mondial du Cloud computing), nous avons partagé un after work convivial avec nos invités, laissant place aux rencontres et échanges professionnels le temps d’une croisière ensoleillée sur la Seine.

Il est 18h lorsque la péniche du Vert Galant s’installe quai de Grenelle face à la Statue de Liberté, c’est ici que l’on y accueille nos partenaires Smile et AWS ainsi que différents clients et autres invités venus de différentes entreprises comme Orange, VeePee, CCI france, Louvre Hotels …

Le temps d’une coupe de champagne et des premières salutations, puis la péniche quitte le port en marquant le lancement de notre conférence.

Guillaume Thibaux – Co Fondateur de Quanta, prend la parole sur un thème au coeur l’ADN de Quanta : L’écologie Digitale ou “Comment réduire les coûts d’infrastructure en sauvant l’humanité ?”. Un thème qui a fortement intrigué nos invités et dont l’objectif était d’alerter les professionnels sur les conséquences écologiques des consommations digitales tout en apportant des solutions efficaces comme la migration sur le cloud, l’optimisation des services et le choix de se diriger vers des datacenters alimentés aux énergies renouvelables.

Puis s’en est rapidement suivi la table ronde : “Comment travailler à l’optimisation en synergies avec différents prestataires ?” où Guillaume Thibaux a été rejoint par nos partenaires, Smile et AWS, représentés respectivement par Eric Grossetie, Directeur de la BU Hébergement/Infogérance et Michel Burov, Account Manager.  Très rapidement, nous avons pu voir le sujet totalement maîtrisé car les trois entités collaborent régulièrement pour de nombreux clients tels que Hermès, La Halle…

Chacun des intervenants a pu témoigner de l’ampleur du mouvement en marche vers le Cloud et comment chacun apporte sa pierre à ces enjeux de migration de plateforme en collaboration avec ses partenaires. Plus généralement sur la question de l’énergie, Michel Burov a également pu livrer la vision d’AWS et des détails sur leurs investissements dans les énergies renouvelables.

Les partenariats communs entre Smile, AWS et Quanta ont été évoqués également. En effet les 3 sociétés ont des activités complémentaires et se retrouvent naturellement sur des contextes clients  : Smile spécialisé dans l’hébergement et l’infogérance des sites, AWS pour la partie “hardware” (matériel et réseau) pendant que Quanta agit comme une tour de contrôle en veillant au bon fonctionnement général des performances de l’ensemble.

Enfin pour terminer Clément Elgard, Head of Performance Guru chez Quanta, nous a fait une démonstration de l’utilisation de l’application Quanta, donnant l’opportunité aux invités qui la découvre d’en connaître ses fonctionnalités et aux utilisateurs présents de poser toutes les questions nécessaires à la maitrise totale de l’application.

Un temps de parole qui s’est terminé et a laissé place à un cocktail placé sous le signe du digital et de la bonne humeur.

   

Le Quanta Connect prend fin aux alentours de 21h, nos invités quittent le bateau en nous remerciant. Ce n’est qu’un au revoir, puisque le Quanta Connect #2 est en préparation, Stay Tuned nous reviendrons prochainement pour plus d’informations !

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Le Real User Monitoring, un « RUM » à consommer sans modération https://www.quanta.io/fr/blog-fr/performance-fr/real-user-monitoring-du-rum-a-consommer-sans-moderation/ Fri, 03 May 2019 09:58:33 +0000 https://quanta.io/?p=15932 L’article Le Real User Monitoring, un « RUM » à consommer sans modération est apparu en premier sur Quanta.

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La web performance est plus que jamais cette année dans le viseur de tous les e-commerçants. Après les différentes mises à jour de l’algorithme de classement Google en 2018 (le Google Speed Update et le Google Mobile first), il est devenu primordial de se doter des meilleurs outils d’analyse et d’optimisation afin d’atteindre l’excellence sur la vitesse de chargement des pages.

Il y a un an, Quanta a racheté  Webperf.io dont les services permettent de collecter des données précises sur l’expérience de vitesse perçue par chaque utilisateurs réels du site. Une solution complémentaire à l’application Quanta qui se positionnait jusqu’à présent sur l’analyse de données provenant de tests automatisés (Synthetic Monitoring ou STM), soit d’utilisateurs virtuels. Cette nouvelle fonctionnalité s’appelle le RUM (Real User Monitoring).

Quanta propose désormais de l’activer et de le coupler avec le STM déjà présent dans l’application pour obtenir une vision 360° de l’expérience utilisateur d’un site et d’en avoir une meilleure visibilité.  

Le RUM ou STM, deux manières très complémentaires d’aborder la performance d’un site

Le RUM, Real User Monitoring, comme son nom l’indique vous apporte des données relatives aux utilisateurs réels. Ainsi, il permet de mesurer :

  • les temps de réponses obtenus par chaque utilisateurs en fonction de sa situation géographique, de son navigateur ou encore du périphérique (tablette, smartphone, etc.) qu’il utilise. 

  • les taux de conversion ou taux de rebonds (là aussi, sous forme filtrable par caractéristiques des visiteurs).

  • le détail pour chacune des pages du site, de l’expérience de chargement perçue, de quoi visualiser une véritable “carte météo” de l’expérience sur un site.

Le STM, permet quant à lui, de mesurer très précisément l’impact d’un potentiel changement dans le bon fonctionnement d’un site. Cette méthode a pour avantage de simuler des interactions réelles d’utilisateurs du site Web en s’approchant au maximum du comportement de des utilisateurs réels pour créer une évaluation de performances extrêmement régulière et comparable dans le temps. Elle permet typiquement de rentrer  dans une démarche d’amélioration continue puisque chaque dégradation de la norme (même faible) pourra être analysée pour y apporter une mesure corrective.


Le RUM est disponible dans Quanta en option pour toutes les licences. Si vous souhaitez plus d’informations sur le sujet, n’hésitez pas à contacter notre service commercial.En résumé, les deux fonctionnalités sont totalement compatibles l’une avec l’autre et il est fortement recommandé de les complémentariser pour obtenir une vision ultra précise de la performance web.

Une fois le RUM activé pour votre licence, vous trouverez une section « Real User Monitoring » dans la page « Intégrations » des paramètres Quanta de votre site. Cela vous permettra de récupérer un tag, sous forme d’un bout de code Javascript, qu’il faudra intégrer à votre site ou à votre Tag manager. Temps d’installation : 1 minute 🙂

Vous êtes curieux d’en savoir + ? N’hésitez pas à nous contacter !

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Les dangers de l’e-publicité sur la web performance https://www.quanta.io/fr/blog-fr/performance-fr/les-dangers-de-le-publicite-sur-la-web-performance/ Thu, 15 Nov 2018 10:48:50 +0000 https://quanta.io/?p=15830 Les dangers de l’e-publicité sur la web performance Comment se porte la publicité en ligne ?   Aujourd’hui, l’essentiel de la croissance e-publicitaire en France est captée par les géants du numérique Google et Facebook (selon l’Observatoire de l’e-pub).   Le marché de la publicité en ligne a connu une croissance de 15,5% au 1er […]

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Les dangers de l’e-publicité

sur la web performance

Comment se porte la publicité en ligne ?  

Aujourd’hui, l’essentiel de la croissance e-publicitaire en France est captée par les géants du numérique Google et Facebook (selon l’Observatoire de l’e-pub).

 

Le marché de la publicité en ligne a connu une croissance de 15,5% au 1er trimestre 2018 avec un résultat atteignant 2,264M€ par rapport au premier trimestre 2017 qui était de 1,813 M€ .

 

La publicité numérique est devenue en quelques années un média incontournable. Aujourd’hui il s’agit encore du premier média publicitaire et conforte sa place de leader sur le marché depuis 2017. Il représente à lui seul, 39,2% de part de marché avec une jolie progression de 4,7 points (vs premier semestre 2017). A croire que ce n’est que le début…

 

Dans ce contexte, tous les leviers digitaux sont en croissance, et plus particulièrement le display avec une augmentation de 29,9% il conserve sa position de leader sur le marché de la publicité numérique et représente 37% du marché global qui correspond à un CA net global de 875M€.

 

Cette croissance est véritablement boostée par la forte utilisation des réseaux sociaux et donc l’intérêt grandissant pour les marques de diffuser leur publicité via ce canal. Le search, lui, progresse de 8,5%, soit 47% du marché global et un CA net de 1078M€. Les autres leviers comme l’affiliation, les comparateurs et l’emailing, sont regroupés dans une même catégorie et sont également en hausse +6% (vs S1 2017) soit 16% du marché global pour un montant CA net total de 366M€.

Le côté obscur de la force

Bien qu’elle montre une croissance fulgurante et continue, la publicité numérique a certains effets néfastes sur la performance des sites, sur la vie privée des internautes ou encore sur la sécurité des données récoltées. Voyons cela plus en détails …

Le temps de chargement :

La publicité en ligne est hautement responsable de l’augmentation du poids d’une page et par conséquent de son temps de chargement. Pourquoi ?  Pour la simple et bonne raison que le navigateur doit aller se connecter à différents endroits pour récupérer le contenu publicitaire, attendre que l’espace publicitaire soit mis aux enchères, puis vendu, que le site soit connecté au site tiers, qu’il récupère le contenu, le charge… Bref, vous l’aurez compris tout cela prend du temps et aussi de la précieuse bande passante pour chaque internaute ! Pour bien comprendre et vous montrer la différence entre un même site avec et sans publicité, un comparatif du site BFMTV a été réalisé par Pixellibre.net :

On peut très distinctement voir la différence de poids de la page avec et sans publicité. Ce poids de page va par répercussion avoir un impact sur le chargement de la page dans son entièreté.

Plus de 17 secondes de chargement avec une mise en cache, plus de 20 secondes sans la mise en cache, et plus de la moitié des éléments à charger sont des js, ou javascripts.

On peut dire que la page « n’est que » deux fois plus lourde avec 4.5Mo mais le temps de chargement, lui, est environ 11.6 fois plus élevé !

La vie privée :

C’est un sujet qui inquiète de plus en plus les internautes, cette combinaison entre la publicité et la vie privée. En effet, les acteurs de la publicité numérique cherchent à récupérer un maximum de données concernant vos internautes, pour alimenter leurs bases mais également pour pouvoir segmenter et cibler davantage les produits susceptibles de vous intéresser dans l’objectif de maximiser leur retour sur investissement.

Un système inquiétant qui a entrainé des craintes auprès des utilisateurs et qui a conduit la création de nouvelles règles plus drastiques afin d’assurer la sécurité de la vie privée des individus. En mai 2018 est entré en vigueur le nouveau règlement général sur la protection des données. Le règlement établit notamment des règles permettant d’obtenir le consentement éclairé de l’internaute vis-à-vis de la collecte de données le concernant (par la mise en place d’un système d’opt-in).

La conséquence

Avec les problèmes liés à la sécurité de la publicité en ligne, les internautes sont davantage méfiants et la trouve même “énervante et de plus en plus intrusive”. (source : le média des entrepreneurs). Pour eux, ces annonces viennent interrompre leur expérience utilisateur et constatent un ralentissement important du chargement de leur page. C’est pour ces différentes raisons, qu’ils se sont tournés vers l’installation d’un AdBlocker.

 

 

Qu’est-ce qu’un Adblocker ?

Il s’agit d’un dispositif logiciel offrant la possibilité aux internautes de bloquer l’affichage des publicités sur les sites web qu’ils visitent, que ce soit des bandeaux ou des liens sponsorisés. (1min30).

Son fonctionnement est finalement assez simple, les logiciels vont analyser le code source de la page avant son affichage, puis détecter les tags et scripts des principales régies publicitaires et suppriment la portion de code concernée. Le résultat est une navigation plus rapide avec une protection accrue de la vie privée.

Quel est l’avenir de la publicité dans tout ça ?

Selon l’étude Adback qui concerne l’utilisation d’un adblocker chez les internautes, les chiffres ont tendance à se stabiliser, mais démontrent tout de même une tendance forte, notamment chez les plus jeunes. Plus de 30% des internautes utiliseront un adblocker en 2019, contre 28,7% en 2018.

 

Quand on voit les désavantages de ces publicités sur le poids de la page comme sur le sentiment de sécurité du site, on ne peut que se poser sérieusement la question en tant que Ecommerçant de la balance entre le bénéfice et son impact négatif sur notre propre taux de conversion. Ces éléments sont à surveiller, chiffre à l’appui, afin de ne pas gaspiller son budget marketing.

 

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We Love Speed, la conférence des passionnés de Web Performance ! https://www.quanta.io/fr/blog-fr/performance-fr/we-love-speed-la-conference-de-la-webperf/ Wed, 03 Oct 2018 13:32:42 +0000 https://quanta.io/?p=15814 Tout s’accélère pour la WebPerf en France La France se met à la vitesse de la Web Perf avec l’événement qui lui est consacré : We Love Speed ! Le 9 octobre prochain, le premier évènement exclusivement dédié à la Web performance ouvrira ses portes à partir de 8h30 au Palais de la Bourse de […]

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Tout s’accélère pour la WebPerf en France

La France se met à la vitesse de la Web Perf avec l’événement qui lui est consacré : We Love Speed !

Le 9 octobre prochain, le premier évènement exclusivement dédié à la Web performance ouvrira ses portes à partir de 8h30 au Palais de la Bourse de Bordeaux. Un événement au goût particulier pour nous chez Quanta car c’est un évènement de passionnés créé par la communauté Web Perf française, alors nous sommes fier d’être sponsor de cette première édition !

Lors de cette journée de Web perf, vous aurez la possibilité de rencontrer les professionnels de la performance web de société comme Google, CDiscount ou encore Akamai. Vous aurez également l’occasion de partir à la découverte des dernières bonnes pratiques de l’optimisation Web en assistant aux conférences.

Au programme :

« Chrome UX Report : comprendre la vitesse ressentie par vos utilisateur » – Rick Viscomi, Défenseur de la transparence sur le Web chez Google

« L’UX au service de la performance de vos interfaces » – Stéphanie Walter UX et UI Designer

« Organiser l’entreprise pour la Performance Web » – Dimitri Baeli CTO Les Furets, Vincent Robert DSI Ouest-France, François Boury Directeur Technique Internet L’équipe.fr et Aurélien Lajoie Directeur de l’architecture Cdiscount.

« UX et Performance : les mesures qui comptent » Philip Tellis Principal RUM Distiller chez Akamai

« Optimiser la performance par un choix optimal des dimensions des images responsives » – Nicolas Hoizey Cofondateur Clever Age

« Les performances de rendu CSS » – Thomas Zilliox Expert CSS freelance

« Quelles métriques pour mesurer la webperf ? » – Jean-Pierre Vincent Expert Technique Indépendant et formateur sur les Performances Web et JavaScript

« Budgets de performance ou comment mettre votre site au régime » – Damien Jubeau – CEO et cofondateur Dareboost

« Combien rapporte 100ms ? » – Stéphane Rios ancien CTO de RueDuCommerce.com et fondateur de Fasterize

« Rapide par défaut  : comment nous avons réinventé le site d’Algolia » – Jonas Badalic Algolia

« Comment faire de la performance Web un enjeu majeur pour l’entreprise ? » – Aniss Boumrigua IT manager chez Rue du Commerce

Plus d’infos ici sur le site officiel de We Love Speed.

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L’optimisation indispensable des images https://www.quanta.io/fr/blog-fr/performance-fr/loptimisation-indispensable-des-images/ Mon, 24 Sep 2018 15:06:26 +0000 https://quanta.io/?p=15786 Elles peuvent aussi bien embellir un site qu’alourdir ses performances… Les images d’un site web sont incontournables pour le rendre plus design et apporter une fluidité de navigation, mais quand elles sont mal optimisées elles peuvent devenir les facteurs d’un ralentissement important et ainsi créer des frustrations voire un abandon du site par l’internaute. Face […]

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Elles peuvent aussi bien embellir un site qu’alourdir ses performances…

Les images d’un site web sont incontournables pour le rendre plus design et apporter une fluidité de navigation, mais quand elles sont mal optimisées elles peuvent devenir les facteurs d’un ralentissement important et ainsi créer des frustrations voire un abandon du site par l’internaute.

Face à leur importance et aux changements permanent des sites web qui nécessitent l’intégration d’images, on en oublie très souvent qu’il y a des règles à respecter pour conserver la fluidité et la rapidité de son site. En effet, 30 à 40% du temps lorsque nous effectuons des tests lors de nos audits, les images représentent la première cause de ralentissement !

Pourquoi optimiser le poids des images ?

  1. Pour réduire votre taux de rebond : Aujourd’hui 57% des internautes quittent un site si le temps de chargement est supérieur à 3 secondes (source: ThinkWithGoogle).
  2. La norme établie pour le e-commerce en Europe en temps de réponse serveur est de 300 ms, au delà de cette limite votre temps de réponse doit être fortement amélioré
  3. 100 ms gagnées en temps de réponse vous apportent 1% de croissance de votre taux de conversion, soit 1 % de revenu supplémentaire à la fin de l’année 

Et pourtant il existe de nombreuses façons simples et rapides pour les optimiser au maximum…

Comment optimiser ses images ?

1. Redimensionner les images avant l’import

En limitant la taille de l’image avant l’import vous obtiendrez en toute logique une image beaucoup moins lourde. L’idée principale est de toujours s’assurer que l’on ne fait pas télécharger une image plus grande que nécessaire à l’utilisateur. Très souvent, lors de nos audits, nous découvrons qu’une partie des images qui figurent sur le site sont envoyées à l’utilisateur dans une dimension supérieure à la dimension spécifié dans le code HTML du site. Quand cela se produit, il y a un gâchis de ressource et de temps de transfert car l’utilisateur va commencer par télécharger une grande image pour finalement la redimensionner automatiquement à la baisse lors de l’affichage par le navigateur.

La bonne pratique consiste donc à avoir une correspondance parfaite entre les dimensions des images (dans le fichier lui-même) et les dimensions spécifiées dans le code HTML pour ces mêmes images. Quand la dimension n’est pas la même il est nécessaire de les redimensionner.

2. Compresser les images

Très simple et très rapide, la compression d’image permet de réduire la taille de celle-ci par suppression des fichiers composés d’informations répétitives. Par exemple dans une image, il peut y avoir des rangées entières de pixels de la même couleur, dans ce cas au lieu d’enregistrer pour chacun de ces pixels un numéro représentant cette couleur, on peut mettre un code signifiant de mettre ici 300 fois la couleur choisie.

Le principe de compression des images n’est évidemment pas neuf, mais sachez que ce domaine a continué de progresser dans les dernières années. Aussi, nous vous conseillons fortement de vérifier que l’ensemble des images de votre site utilise bien le maximum de niveau de compression.

Vous vous demandez peut-être si l’impact de la compression est visible auprès de vos visiteurs ? En effet, cela peut dépendre du degré de compression que vous allez utiliser, mais la plupart du temps vous serez étonnés de ne pas arriver à faire la différence entre 2 images affichées à l’écran, l’une des deux ayant une taille largement plus basse.

Pour vous aider dans cette démarche, nous vous conseillons l’excellent outil en ligne compressor.io, qui permet justement de comparer les différences avant/après compression !

3. Opter pour le JPEG ou le PNG ?

Pourquoi le JPEG : c’est le format le plus adapté en terme de compression d’image numérique. Il est possible de choisir le taux de compression avec ce format mais attention plus la compression est importante, moins l’image sera lourde, mais en contrepartie elle perd de sa qualité. Il faut donc choisir le bon compromis, mais ça on vous laisse faire ! (cf. vos futurs essais avec compressor.io)

Pour le PNG : Contrairement au JPEG, le PNG accepte la transparence, par conséquent son utilisation sur le web est plus avantageuse et davantage privilégiée pour certaines images comme les logos par exemple. Néanmoins pour toutes les autres qui ne nécessitent pas de transparence, le JPEG, avec ses nombreuses options de compression, restera plus adapté.

4. Rappel : Génération Mobile First

Depuis le passage de la Google Speed Update, nous sommes passés dans une ère de Mobile First ! Pensez bien évidemment à rendre vos images responsives et bien suivre les étapes d’optimisation du poids de vos images !

La vitesse de chargement des pages d’un site web est devenue le sujet majeur de ces dernières années. La conjoncture et le rythme de vie actuel nous incite à être de plus en plus impatients. Les internautes eux aussi sont dans la même configuration et veulent naviguer sans attendre, à nous de nous adapter pour offrir la meilleure expérience numérique et d’achat à nos clients.

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Retrouvons-nous au salon Paris Retail Week 2018 ! https://www.quanta.io/fr/blog-fr/evenement/retrouvons-nous-au-salon-paris-retail-week-2018/ Wed, 22 Aug 2018 12:45:06 +0000 https://quanta.io/?p=15613 Le plus grand événement retail et e-commerce d’Europe est de retour du 10 au 12 septembre 2018 et bien évidemment nous y serons ! Retrouvez-nous pour trois jours de e-commerce, de digital et de webperformance au Pavillon 1 du Paris Expo Porte de Versailles Stand P118.  Paris Retail Week, devenu incontournable Après l’engouement recensé pour […]

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Le plus grand événement retail et e-commerce d’Europe est de retour du 10 au 12 septembre 2018 et bien évidemment nous y serons !
Retrouvez-nous pour trois jours de e-commerce, de digital et de webperformance au Pavillon 1 du Paris Expo Porte de Versailles Stand P118. 

Paris Retail Week, devenu incontournable

Après l’engouement recensé pour la troisième édition et la confirmation des acteurs du retail off- et on-line du besoin de se réunir autour d’un événement commun, la Paris Retail Week se prépare pour une 4ème édition en septembre prochain.

Au programme de cette année ?

Pas moins de 800 sociétés participantes et 40 000 professionnels sont attendus lors de cette édition qui sera marquée par la mise en avant du Smart Phygital, nouveau phénomène de l’écosystème retail global et agile.
Aujourd’hui le retail est SMART. Il apprend et s’empare de l’Intelligence Artificielle pour améliorer toujours plus l’expérience client. Ce mariage du online et offline signe l’avènement du Phygital.

Mais bien évidemment ce ne sera pas l’unique thème abordé tout au long de cet événement, vous aurez l’occasion d’échanger et innover sur d’autres sujets comme

  • Les solutions de paiement
  • Le marketing, le traitement de la data et les relations client
  • La logistique, et l’e-logistique

Mais ce n’est pas tout, au-delà des rencontres diverses, et des nombreuses conférences gratuites, le Paris Retail Week sera cette année l’occasion d’assister aux Paris Retail Awards, évènement durant lequel les acteurs prometteurs du secteur apportant des réponses efficaces à des problématiques que se posent les e-marchands seront récompensés.

Pour nous retrouver !

Quanta, en tant qu’expert dans le domaine de la Web Performance, ne pouvait qu’être présent pour un tel rendez-vous. Notre équipe sera ravie de vous accueillir sur le Stand P118 dans le secteur Marketing, Data et Relation-Clients. Et si, par hasard vous n’avez pas la chance de pouvoir participer à cet événement, retrouvez-nous ou découvrez-nous lors de notre interview sur FrenchWeb TV prévue pendant l’évènement. 

Petite info bonus :
Cette année nous allons animer un atelier ayant pour thème “La vitesse de chargement, un levier important de la performance commerciale. ». Le géant du télé-achat Téléshopping nous raconte sa mise en place d’une gouvernance de la Web Performance. On reviendra vers vous très vite sur nos réseaux pour vous donner toutes les infos nécessaires à votre présence ! On vous attend nombreux ?

Il ne me reste plus qu’à vous dire à très vite et si vous avez besoin de plus d’informations, ou tout simplement nous dire que vous passerez prendre un café, vous pouvez nous contacter via ce formulaire pour réserver un créneau sur notre stand.

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Loading time, Speed Index, Score Page Speed… Quels indicateurs suivre pour améliorer l’expérience utilisateur ? https://www.quanta.io/fr/blog-fr/transformation/indicateurs-experience-utilisateur/ Fri, 23 Feb 2018 14:24:12 +0000 https://quanta.io/?p=15301 La Web Performance concerne avant tout la vitesse et la santé de vos tunnels d’achat. Le temps d’affichage d’une page est donc extrêmement important. Il aura un impact direct sur le ressenti utilisateur et donc sur votre conversion et votre CA. Il convient donc de bien le monitorer, mais quelles métriques suivre ? Loading time, […]

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La Web Performance concerne avant tout la vitesse et la santé de vos tunnels d’achat. Le temps d’affichage d’une page est donc extrêmement important. Il aura un impact direct sur le ressenti utilisateur et donc sur votre conversion et votre CA.
Il convient donc de bien le monitorer, mais quelles métriques suivre ? Loading time, Speed Index, Score Page Speed… autant d’indicateurs de performance. Comment les utiliser et lesquels représentent mieux l’expérience utilisateur réelle ?


Nous vous proposons de revenir en quelques minutes sur ces indicateurs et comment les utiliser.

Loading time : une mesure de base un peu dépassée

Le loading time est le premier indicateur de performance qui a été utilisé. Il représente tout simplement le temps global de chargement de la page (jusqu’à l’affichage du dernier pixel).
Cet indicateur est intéressant à suivre, mais n’est pas représentatif de l’expérience client.
En effet, une page peut s’afficher progressivement et devenir interactive avant d’être complètement chargée. Ainsi l’utilisateur aura l’impression que la page s’est chargée plus rapidement.

Speed Index : une mesure pondérée du chargement

Le speed Index est une mesure du temps d’affichage qui tient compte de l’expérience utilisateur réelle. Il s’exprime en millisecondes. Plus le score est bas, plus la page s’affiche vite et le ressenti utilisateur sera bon. Concrètement, le speed Index représente le temps moyen d’affichage des pixels de la page au-dessus de la ligne de flottaison.
Prenons un exemple :

indicateur Affichage Progressif vs affichage non Progressif

La page A s’affiche progressivement (30% des pixels à 0,5 secondes, 70% à 1 seconde et 100% à 1,5 seconde) vs la page B qui s’affiche à 100% d’un coup à 1,5 seconde.

Graphique d'avancement du chargement page A vs page B

La page A et la page B auront donc le même loading time (1,5 seconde). Pourtant, le ressenti utilisateur sera bien meilleur sur la page A. Dans le cas A, puisque l’on voit la page s’afficher progressivement, on a un double effet positif du point de vue de l’internaute :

  • Il a une confirmation visuelle que la page est en train de se charger, ce qui l’aide à patienter et à garder son attention sur la page.
  • Il peut d’ores et déjà prendre connaissance d’une partie du contenu de la page, le temps d’attente n’est donc plus du temps “perdu”.

Le Speed Index va donc prendre cet différence en compte dans son calcul afin de valoriser l’affichage progressif. Ainsi, le Speed Index de la page A sera de 1000 ms quand celui de la page B sera de 1500 ms.

Qu’est-ce qu’un bon Speed Index ?
Il est communément admis qu’à partir d’une seconde d’attente, l’internaute perd le fil de sa réflexion, et qu’à partir de 3 secondes, plus de la moitié des visiteurs (53%) quittent le site. Par conséquent, on considère qu’un bon Speed Index doit être idéalement inférieur à 1000 ms. De 1000 à 3000 ms, la navigation reste “acceptable” et au-delà de 3000 ms il faut l’améliorer absolument sous peine de constater une perte considérable de visiteurs frustrés.

Score Page Speed : un indicateur de suivi de bonnes pratiques

Le Score Page Speed est un indicateur très différent. Il ne représente pas le temps d’affichage d’une page, mais le suivi de bonnes pratiques édictées par Google.
Le score Page Speed est composé d’une note globale sur 100 qui est la moyenne des notes de chacune de ces différentes bonnes pratiques.

indicateur Score Page Speed

Google Score Page Speed n’est donc pas un indicateur représentant le ressenti utilisateur, mais plutôt un outil qui va donner des axes d’optimisation.

En conclusion, il existe de nombreux indicateurs pour suivre la performance d’affichage de vos pages. Mais in-fine, l’important est de s’assurer du ressenti utilisateur. Dans la matière, le Speed Index est la référence. En revanche, une fois que l’on a identifié quelles pages doivent être améliorées, il faut savoir comment le faire. C’est là que le Score Page Speed prend tout son sens…

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Google Speed Update : quand la performance web impact le SEO, comment préparer son site mobile ? https://www.quanta.io/fr/blog-fr/marketing-digital/google-speed-update-quand-la-performance-web-impact-le-seo-comment-preparer-son-site-mobile/ Thu, 08 Feb 2018 16:27:49 +0000 https://quanta.io/?p=14797 Google a annoncé le 17 janvier dernier une modification de son algorithme de référencement des sites pour les terminaux mobiles. Nommée “Speed Update”, cette mise à jour sera effective dès juillet 2018 et prendra en compte la performance web (rapidité d’affichage des sites). Cette évolution majeure nécessite que les e-commerçants adaptent leur site mobile s’ils […]

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Google a annoncé le 17 janvier dernier une modification de son algorithme de référencement des sites pour les terminaux mobiles. Nommée “Speed Update”, cette mise à jour sera effective dès juillet 2018 et prendra en compte la performance web (rapidité d’affichage des sites).
Cette évolution majeure nécessite que les e-commerçants adaptent leur site mobile s’ils ne veulent pas voir une baisse de leur trafic.

A l’instar des recherches Google sur desktop, à partir de juillet, les recherches mobiles prendront elles aussi en compte le critère de vitesse. La firme de la Silicon Valley a en effet exprimé qu’un contenu sur mobile, même très pertinent, sera déclassé des pages de résultats dans le moteur de recherche si ses pages sont trop longues à charger.

Il est communément admis que la vitesse de chargement a un impact fort sur le taux de conversion et par conséquent sur les performances globales des ventes en ligne.
Avec cette annonce, Google va plus loin en indiquant qu’un site mobile dont la web performance laissera à désirer perdra en visibilité en étant moins bien référencé. L’effet direct sera donc une diminution du nombre de visites sur un site.
Le chiffre d’affaires d’une boutique en ligne étant lié à ces deux facteurs, c’est donc toute la rentabilité du site qui est remise en cause avec cette mise à jour.

Alors qu’en juin 2017, 56% des visites de sites en France ont été réalisées depuis un mobile (source DN/Médiamétrie et eStat), les e-commerçants se doivent de ne plus penser simplement “mobile first” mais bien “fast mobile first”, au risque de voir leur activité commerciale mise en péril. Un changement de vision imposé par le géant américain pour garantir l’expérience utilisateur et qui induit une nécessaire évolution des préoccupations des vendeurs en ligne.

Avec cette modification annoncée, les e-commerçants doivent donc travailler sur la performance web sur mobile. Voici la marche à suivre, éprouvée auprès de plus de 500 e-commerçants, pour éviter le coup d’epée du célèbre moteur de recherche d’ici juillet :

1/ Identifier les pages clés
Le référencement naturel Google représente une source de trafic majeure pour les sites e-commerce. En fonction de leur recherche et du référencement Google, les internautes ne vont pas tous arriver sur la même page. Il convient donc dans un premier temps d’identifier les pages sur lesquelles les internautes atterrissent le plus afin de concentrer ses efforts sur celles-ci.
L’approche la plus rentable et la plus pragmatique est bien de prendre note des pages les plus importantes pour son activité commerciale et de concentrer ses efforts sur celles-ci.

2/ Comparer la vitesse des pages clés avec celles des concurrents
En utilisant la page de test automatique fournie par Google, il est possible de comparer son site à celui du concurrent. A la fin du test, il suffit de sélectionner son industrie et de constater si l’on se situe dans les bons ou les mauvais élèves.

3/ Optimiser
Parmi les recommandations les plus importantes :
– utiliser un système de cache (CDN)
– activer la compression sur son serveur
– compresser et redimensionner les images afin de fournir à l’internaute du contenu toujours parfaitement adaptée à son terminal
La liste des optimisations à mener (et à maintenir dans le temps !) est longue et là aussi Google fourni PageSpeed Insights, un outil qui permet de faire un état des lieux à l’instant T de la mise en place de ces bonnes pratiques sur le site.

4/ Surveiller
Un site e-commerce est une machine complexe et perpétuellement en mouvement. Chaque semaine, un site subit plusieurs modifications qui peuvent entraîner de nouveaux ralentissements ou des perturbations. Si ces problèmes de performance ne sont pas identifiés et corrigés avant le prochain passage de la sonde Google, elles peuvent entraîner de lourdes répercussions sur le référencement. La mise en place d’un système de mesure en continu, d’alerte et d’identification des ralentissements est par conséquent nécessaire à la réussite d’un site sur le long terme.

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Comment HTTP/2 va booster votre Performance Web ! https://www.quanta.io/fr/blog-fr/guide-pratique/http2-va-booster-votre-performance-web/ Tue, 28 Nov 2017 02:48:10 +0000 https://quanta.io/?p=14381 Ceux d’entre vous qui sont de fréquents lecteurs de notre blog savent que nous sommes toujours à l’affût des nouvelles innovations technologiques qui peuvent améliorer la gestion de la Performance Web pour nos clients e-commerçants. Et c’est pourquoi aujourd’hui, j’ai choisi de parler un peu du nouveau protocole HTTP/2. HTTP/2 est une version nouvelle et […]

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Ceux d’entre vous qui sont de fréquents lecteurs de notre blog savent que nous sommes toujours à l’affût des nouvelles innovations technologiques qui peuvent améliorer la gestion de la Performance Web pour nos clients e-commerçants. Et c’est pourquoi aujourd’hui, j’ai choisi de parler un peu du nouveau protocole HTTP/2.

HTTP/2 est une version nouvelle et corrigée du protocole HTTP/1.1, et basée sur les innovations apportées par le projet SPDY. Les nombreux changements entre les versions 1.1 et 2 du protocole HTTP méritent vraiment d’être expliquées, et c’est ce que je vais faire ici, d’un point de vue purement Performance Web. En effet, HTTP/2 dispose également de nouvelles mesures de sécurité (notamment dues au contrecoup de l’attaque CRIME de 2012), mais ces spécificités ne seront pas abordées dans cet article.

HTTP/1.1, SPDY : La genèse de HTTP/2

Tout d’abord, rendons à César ce qui est à César : HTTP/1.1 a été créé il y a plus de 15 ans, et Internet a énormément changé depuis. Donc, quand on parle des insuffisances de HTTP/1.1, il faut garder cela à l’esprit.

Mais, même en considérant le contexte, HTTP/1.1 a vécu son temps. Pourquoi ? Tout simplement parce que HTTP/1.1 est bien trop gourmand en ressources.

Ce protocole fonctionne essentiellement en n’autorisant qu’une seule requête par connexion TCP. Au tout début, cette règle a été instaurée pour mieux contrôler la congestion créée par une grande quantité de requêtes.

En raison de la complexité croissante des pages web, les navigateurs ont tenté de contourner cette règle en utilisant jusqu’à 8 connexions TCP pour émettre des requêtes en parallèle. Mais non seulement cette technique est gourmande en ressources (en raison de la contrainte qu’elle impose au réseau, et donc au client et au serveur), mais elle n’est pas optimale (les connexions TCP finissent par « être en compétition » pour la bande passante, puisse qu’aucune hiérarchie n’existe entre elles).

Par ailleurs, certains ont essayé d’utiliser le pipelining HTTP (en utilisant une connexion TCP pour envoyer plusieurs requêtes) pour contourner la règle de base de HTTP/1.1. Mais, ce faisant, ils prenaient le risque de perdre des paquets si le premier en ligne devait être perdu (phénomène appelé Head of Line blocking).

Fonctionnement d’une requête classique HTTP, d’un pipelining, et d’un Head of Blocking, par Jeffrey Bosboom

L’effet négatif de HTTP/1.1 sur la performance web a finis par être jugé préjudiciable.

Ainsi, en 2009, le projet SPDY a été lancé, pour tenter de remédier aux insuffisances de HTTP/1.1. SPDY était un projet Google, qui visait à réduire les temps de chargement des pages, en implémentant le multiplexage (possibilité d’autoriser l’envoie de plusieurs demandes et réponses en même temps) et la priorisation des requêtes HTTP. Cette expérience de Google a progressivement gagné la reconnaissance des professionnels, et est largement utilisée de nos jours, même si les utilisateurs ne s’en rendent généralement pas compte. SPDY a donc été choisi pour servir de base à la première ébauche de HTTP/2.

Ce que HTTP/2 va apporter à la question de la performance web

Comme je le disais plus haut, HTTP/2 est très différent de HTTP/1.1. Il est donc temps de jeter un coup d’oeil aux innovations dédiées à la performance web qu’il apporte.

HTTP/2 EST BINAIRE.

Contrairement au HTTP/1.1 qui est textuel, HTTP/2 est binaire, et repose donc sur des champs de texte de taille fixe. Cela rend le travail de transfert et d’analyse sur les données beaucoup plus efficace, orienté pour le langage machine, et donc … plus rapide. Étant binaire, HTTP/2 est également moins sujet aux erreurs, ce qui peut définitivement améliorer les performances.

HTTP/2 EST COMPLÈTEMENT MULTIPLEXE ET N’UTILISE QU’UNE CONNEXION TCP.

Sur ce point, on peut vraiment voir l’influence du projet SPDY. Comme je l’ai déjà dit, au début, la règle de connexion TCP unique a été implémentée afin de réduire la congestion. Mais en raison de la complexité croissante des pages web, les navigateurs se sont mis à « tricher », perdant ainsi la philosophie derrière la règle. HTTP/2 réintroduit cette règle mais règle les problèmes de HTTP/1 :

  • Plusieurs requêtes et fichiers peuvent être transférés en même temps.

Diagramme du Multiplexage

  • Le traitement des paquets ne peut plus être bloquer si le premier paquet de la file est perdu, du fait de la disparition du systême de chaine de paquets.
  • Des morceaux de message peuvent désormais être utilisés par un autre message de manière à mutualiser le travail de requêtes.
  • La compétition entre les connexions TCP n’existe plus. Le client priorise les flux de requêtes qu’il fait, et se contente d’ajouter les nouvelles requêtes aux flux éxistants selon leur ordre d’importance (typiquement, les requêtes HTML et CSS seront classées dans un flux PRIORITY)

Le multiplexage et la connexion TCP unique permettent à un client d’utiliser une seule connexion pour toutes ses requêtes, et de fait, d’améliorer les temps de chargement et de réponse, et la vitesse générale. La vitesse étant un facteur clef de la performance web, son amélioration ne peut qu’être bénéfique pour l’expérience utilisateur.

HTTP/2 PERMET LE SERVER PUSH.

Cela permet à un serveur d’anticiper les besoins d’un utilisateur, en lui présentant des contenus susceptibles de l’intéresser, avant même qu’il n’y pense. Plus précisément, il permet au serveur de proposer en cache tous les éléments JavaScript, images et CSS associés à une requête HTML, dès que cette requête HTML est formulée par un navigateur.

Illustration du principe du Server Push, par David Attard

Conclusion

HTTP/2 va certainement amener la performance web des sites à un nouveau niveau. Et cela ne peut être qu’un bon point pour les sites de e-commerce qui sont de plus en plus l’objet de l’exigence des internautes. Mais seul le temps sera en mesure de dire s’il peut résister à l’évolution toujours plus rapide d’Internet et de ses usages.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les spécificités de HTTP/2, je vous recommande de jeter un oeil sur le GitHub dédié, qui a été la source principale d’information pour cet article.

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Retrouvons nous au salon Paris Retail Week 2017 ! https://www.quanta.io/fr/blog-fr/evenement/retrouvons-nous-au-salon-paris-retail-week-2017/ Thu, 14 Sep 2017 10:24:07 +0000 https://quanta.io/?p=13633 Nous poursuivons notre tournée des grands événements internationaux dédiés au e-commerce, et la prochaine étape pour Quanta est le salon incontournable du e-commerce français : le Paris Retail Week, qui se tiendra du 19 au 21 Septembre 2017, au Pavillon 7.3 de Paris expo Porte de Versailles. Paris Retail Week, un salon incontournable 2017 marque […]

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Nous poursuivons notre tournée des grands événements internationaux dédiés au e-commerce, et la prochaine étape pour Quanta est le salon incontournable du e-commerce français : le Paris Retail Week, qui se tiendra du 19 au 21 Septembre 2017, au Pavillon 7.3 de Paris expo Porte de Versailles.

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Paris Retail Week, un salon incontournable

2017 marque la 3ème édition du Paris Retail Week, salon dédié à la digitalisation des méthodes de vente et de distribution.

Face aux attentes toujours plus importantes de consommateurs pour qui le e-commerce fait partie intégrante du quotidien, ce ne sont pas moins de 600 sociétés, et 30 000 professionnels du e-retail qui seront présents pour échanger et innover sur des thèmes comme :

  • Les solutions de paiement
  • Le marketing, le traitement de la data et les relations client
  • La logistique, et l’e-logistique
  • Ainsi que la digitalisation croissante du point de vente classique.

Mais ce n’est pas tout, au-delà des rencontres diverses, et des nombreuses conférences gratuites, le Paris Retail Week sera cette année l’occasion d’assister aux Paris Retail Awards, évènement durant lequel 10 acteurs prometteurs du secteur apportant des réponses efficaces à des problématiques que se posent les e-marchands seront récompensés, ainsi que de découvrir en avant-première les chiffres de la Fevad sur l’e-commerce.

Cette année, le salon aura pour thème principal le Live Retail : un commerce en temps réel reposant principalement sur l’établissement de relations humaines et personnalisées.

Nous retrouver sur le salon

Quanta, en tant qu’expert reconnu dans le domaine de la Web Performance pour les sites de e-commerce ne pouvait décemment pas louper un tel rendez-vous. 😉

Notre équipe sera donc présente aux côtés de nos partenaires Alphalyr, Mazeberry, et Merchandising.io, sur le Stand G098, dans le secteur Marketing, Data et Relation-Clients.

Petite info bonus : nous avons préparé un jeu concours permettant de gagner jusqu’à 600€ de bon d’achat Cultura ! Pour participer un passeport vous sera remis sur notre stand.

Rendez-vous donc au salon, dès le mardi 19 septembre !

Pour plus d’informations, ou tout simplement dire que vous passerez prendre un café, vous pouvez contacter :

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